Dans la ville de Mézières
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Sur le disque "Il n'y a d'honnête que le bonheur"
Il s'agit d'une chanson paillarde traditionelle
"Le bateau chargé de vits" qui elle-même a inspirée 
"Tiens v'la la coloniale" que G. Brassens reprend ici
quasiment à l'identique.

Dans la ville de Mézières
Y'avait un wagon de pines 
Y en avait des longues, des fines 
Qui pendaient par la portière 

Bonbon la bonbonnière

Y en avait des longues des fines 
Qui pendaient par la portière 
Une bonne dame de charité 
En pris trois douzaines de paires 

Bonbon la bonbonnière

Une bonne dame de charité 
En pris trois douzaines de paires 
Les posa sur la cheminée 
Pour se les carrer dans l' derrière

Bonbon la bonbonnière

Les posa sur la cheminée 
Pour se les carrer dans l' derrière 
La p'tite bonne qu'avait tout vu 
S'en est servi la première 

Bonbon la bonbonnière

La p'tite bonne qu'avait tout vu 
S'en est servi la première 
Elle s'en est tellement foutue 
Qu'elle s'en péta la charnière 

Bonbon la bonbonnière

Elle s'en est tellement foutue 
Qu'elle s'en péta la charnière 
Si bien que du con au cul 
Ce n'est plus qu'une vaste ornière 

Bonbon la bonbonnière

Si bien que du con au cul 
Ce n'est plus qu'une vaste ornière 
Tu crois la prendre par-devant 
Va te faire foutre c'est par-derrière 

Bonbon la bonbonnière

Tu crois la prendre par-devant 
Va te faire foutre c'est par-derrière 
Tu veux lui faire un enfant 
V'la tout le foutre qui tombe par terre 

Bonbon la bonbonnière

Tu veux lui faire un enfant 
V'la tout le foutre qui tombe par terre 
Et tu dis en l'écrasant 
D'un mouvement de colère 

Bonbon la bonbonnière

Et tu dis en l'écrasant 
D'un mouvement de colère 
Non tu ne connaîtras pas 
Le foutu con de ta mère 

Bonbon la bonbonnière

Non tu ne connaîtras pas 
Le foutu con de ta mère 
Tu ne feras pas non plus 
Un militaire de carrière

Bonbon la bonbonnière